Il y a
le verbe
se reposer
(Peinture : Susanna / Henry Salem Hubbell)
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
skip to main |
skip to sidebar
cliquez sur la photo pour en savoir plus
"Où je croyais me souvenir
Je ne voulais qu'un peu de sel
Me reconnaître et repartir."
E. Vandercammen
"La mémoire du silence nous rend aux temps immémoriaux aux grandes solitudes de l'enfance" Gaston Bachelard
maría dolores cano
125.jpg)
Archives du blog
" Avec la poésie, l’imagination se place dans la marge où précisément la fonction de l’irréel vient séduire ou inquiéter – toujours réveiller l’être endormi dans ses automatismes. "
G. Bachelard
Solidarités international
amnesty international
Pétitions
Les abeilles et nous
cliquez sur la photo pour en savoir plus
mes autres demeures
Pierre Etienne
je les lis et les lie
- aller aux essentiels
- anaka
- au gré des jours
- aux tempes des miroirs
- bleuitudes
- carnet de voyage
- cendre et braise
- d'aimant songe
- d'ombre et de lumière
- descri-e-silence
- eldorad'oc
- emmila gitana
- encres vagabondes
- ex absentia
- frederique
- gmc
- gouttes d'eau
- gouttes d'eau (2)
- hortus noctis
- if 6 was 9
- il y a un jardin
- jardin d'ombres
- jorcas
- kaikan
- l'atelier
- l'oeil ouvert
- la colline aux cigales
- la danse du baton
- la pierre et la plume
- la quête de kaïkan
- le blog graphique
- le goût secret du sel
- le pisteur de nuages
- le réseau modiano
- les arbres n'ont pas de regret
- les chemins des grands jardins
- les secrets de lutin
- mine de rien
- ob-poésie
- paumée
- photoplap
- poésie mode d'emploi
- poésie à franquevaux
- pêle-mêle
- regards féériques
- sido
- terre d'asphalte
- tilk
- variations photographiques
- w
- à mi-voix
- éclats de mots
mes promenades
- Abdellatif Laâbi
- André Velter
- anthologie poésie poètes d'aujourd'hui
- antología de poesía iberoamericana.
- chambre claire
- club des poètes
- espace poétique
- esprits nomades
- georgia o'keefe
- J-M Maulpoix
- Jacques Ancet
- la cause des causeuses
- la obra poética de Juan Ramón Jiménez
- la poésie que j'aime
- les 23 constellations de Miro / Dorio
- littérature audio
- los poetas
- Mahmoud Darwich
- obras completas de Federico García Lorca
- pierre soulages
- poemas en francés
- poetica
- poésie et textes rares
- remue.net
- à cause des causeuses
le jardin de Giverny / le blog d'Ariane
GASTON BACHELARD parmi nous, ou l'héritage invisible
Gabriel le Gal
Baptiste Ossipov
Walt Whitman
"Où je croyais me souvenir
Je ne voulais qu'un peu de sel
Me reconnaître et repartir."
E. Vandercammen
9 commentaires:
et elle fait vraiment envie
Tout le repos, ô nuit, que tu me dois
Tout le repos, ô nuit, que tu me dois,
Avec le temps mon penser le dévore :
Et l'horloge est compter sur mes doigts
Depuis le soir jusqu'à la blanche Aurore.
Et sans du jour m'apercevoir encore,
Je me perds tout en si douce pensée,
Que du veiller l'âme non offensée
Ne souffre au corps sentir cette douleur
De vain espoir toujours récompensée
Tant que ce monde aura forme et couleur.
Maurice SCÈVE (Délie)
♥♥♥
Il y a tant de verbes
Les verbes amis
les verbes mauvais
les verbes doux
les verbes anciens
les verbes modernes
les verbes du coeur
les verbes de l'âme
Nada más ...
@ brigetoun... alors, il faut la suivre...
@ J♥♥♥ merci beaucoup, c'est très beau.
@ Neyde... je tente ta langue :
Há o verbo para amar os amigos
um verbo que é bem a você
um verbo do coração
eu o beijo senhora bonita
Et le repos est bien mérité.
@ Maïté... alors, reposons-nous
se poser une seconde fois ?
se re-poser
éventuellement !!!
"Susanna" de Henry Salem Hubbell est un choc : un vertige chromatique, une douceur exquise dans ses écarlates (lèvres, fleurs et moulures du bois peint du canapé) se détachant sur les tons sombres, le bouquet de fleurs dans les doigts dépliés... Les verts printaniers... l'ambiance rêveuse de la pièce... La belle alanguie... Oui, il y a le verbe "Se reposer", on lui envie d'ailleurs ce délassement et cet abandon de soi... Tout est spirituellement et charnellement habité dans ce superbe "chef d'oeuvre inconnu" (en tout cas de moi, jusqu'à présent...). Bises et merci, chère Maria !
Enregistrer un commentaire