.
__________ L’autre fuit sur la route
__________ et dédaigne la joie
__________ ce qu’il est ce qu’il a
__________ il l’empiète à chaque fois
__________ la terre entre ses doigts
__________ se craquèle … s’effrite
__________ il est roi sans royaume
__________ il est prince sans palais
__________ il est un affamé
__________ sur cette route sans fin
__________ lumière vacillante
__________ dans son œil qui s’éteint.
(Peinture : maria-d / photo retouchée)
samedi 14 mai 2011
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
8 commentaires:
Un oeil dans la nuit
une spirale s'amenuise
une trilogie d'espoir
de soif et de faim
une grande envie de vivre
malgré ce dédain de la joie
où j'y lis comme un défi
une belle trilogie et une belle déclinaison de cet oeil qui s'éteint
amitié chère Maria-D
et cet oeil dans ta main
respire et se libère
dans la source du ciel
♥♥♥
Miserella, ah più no, no,
tanto gel soffrir non può.
http://www.youtube.com/watch?v=wAPxEW16SCA
"il fuit sur la route"
ça me parle
au coeur
@ Camille... oui, une trilogie qui se termine avec ce dernier fragment... merci à vous pour votre fidélité
@ Jules... merci mon p'tit Jules pour tout
♥♥♥ + ♥♥♥ = une demie douzaine
(♥♥♥ + ♥♥♥) + (♥♥♥ + ♥♥♥) = (♥♥♥ + ♥♥♥) X 2 = une douzaine
et ainsi de suite jusqu'à l'infini
@ Jeanne ... une fuite sans fin...
amitié
Le garder dans la paume de la main …
Garder la plume
L’accompagner …
Lui bâtir un palais
De souffles dorés
La Douceur
a pleuré
fragments
aux miroirs déchirés
par la fin, par la faim …
de loin, de tout près,
sur le seuil du ciel
une âme arpège
sur un fil de lumière ,,,
le chemin
dans un point …
une seconde orpheline
qui éclate de sa joie
qui rit de sa fin
en larmes de sucre
le frisson d’une Caresse
éclot ,,,
Dans la paume de sa main
la plume
et l’oiseau
le principe
et la fin
Paroles, paroles, sornettes, et balivernes
@ Merciel ... un beau résumé merci et belle nuit.
@ Anonyme... sornette, sorne, sorner... un bien joli mot que celui-ci : "sornettes" ... un peu mal approprié pour cet écrit... mais cela reste un bien joli mot.
L'homme condamné à marcher sans s'arrêter? jusqu'à l'infini?
Belle série, Maria.
Enregistrer un commentaire