Écriture
des arbres
et des
jours sans
racines
filets de fièvre accrochés à
leurs ruines
encre des rivières pluies
de brousse
rayant les pages du ciel et
de la terre
griffures de leurs
plumes ocre et sanguine
trace de poussière dans leurs
vertes ravines
(Peinture : Paysage triste / maria-d)
7 commentaires:
Paysage buvard
empreinte d'une vie.
te leo y me voy a un mundo de belleza
lleno de sensibilidad
besotes
fernando
duo sanguin pas triste
"Oh! l’automne l’automne a fait mourir l’été
Dans le brouillard s’en vont deux silhouettes grises"
entre le ciel
et les arbres
une histoire d'hiver
mais chut !!!
L'arbre,
elle nous parle, en silence.
Elle nous écoute, en silence.
C'est très bon l'embrasser
et ecouter con coeur
battre près de notre coeur.
Mil beijocas, minha querida amiga
saudade
... "Et partout colorant en rouge la nature."
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